Carte Blanche - Centro de Investigación y Creación en Video (CICV) Pierre Schaeffer
(Montbéliard Belfort, Francia)

 

curaduría: Yasmina Demoly  

C A R T E   B L A N C H E

‹‹ A quoi sert líart? ››

RÉALISATION : Pierre Bongiovanni / Marc Perroud. Genre : exposition multimédia. Durée : 10 x 30í. Année : 2003.

SYNOPSIS : ´ A quoi sert líart ?ª rassemble les contributions (entretiens, textes, úuvres) díartistes et de philosophes de différentes cultures et de différentes sensibilités sur les questions de la mémoire, de la création, du mouvement, du flux, de líinvention permanente du monde.  A quoi sert líart? Comment comprendre et transmettre la nature profonde du geste artistique et ce qui dans líart produit du mouvement, des mouvements de pensée, des mouvements de lí?me, du flux ? Comment comprendre comment ce mouvement, ce flux, se nourrit des mémoires accumulées depuis des générations, aux croisements de toutes les cultures ? Comment comprendre comment líartiste, créateur de mouvements et de formes, se nourrit de toutes ces strates de mémoires autant quíil les enrichit en permanence en les retravaillant comme líartisan boulanger travaille la p?te ? Comment montrer la nécessité de líengagement artistique dans le monde devenu trop étroit alors mÍme que nous ne parvenons pas, que nous ne parvenons plus, ? en assumer líampleur des contradictions ? Líexposition conÁue comme un parcours-découverte dans les idées et les úuvres permet au visiteur díadopter plusieurs points de vue sur les problématiques artistiques contemporaines notamment dans les rapports complexes et ambigus quíelles entretiennent avec les nouvelles technologies de líinformation et de la communication.

Interviews réalisées:

  • Bernard Stiegler (36í10)
  • Béatrice Picon-Vallin (18í55)
  • Jean-Paul Curnier (36í20)
  • Jean-Michel BruyËre (11í33)
  • Lise Solar (29í44)
  • Maurice Benayoun (21í35)
  • Régine Chopinot (17í46)
  • Anne Marie Morice (14í34)
  • Philippe Godognet (22í48)
  • Daniel VeronËse (version sous titrée en franÁais 31í24)

Conception                                                                                   

  • Pierre Bongiovanni

Production

  • CICV Pierre Schaeffer Montbéliard Belfort ::: Yasmina Demoly

 ‹‹ captives (2nd mouvement) ››

RÉALISATION : Nicole et Norbert Corsino, 1999, Fiction Chorégraphique, France, 12' 17''

SYNOPSIS : Trois femmes caractérisées par leur pouvoir de dire non. Leurs déplacements et leur gestuelle sont appliqués ? leur clone respectif. Leurs danses, leurs actions se situent dans le refus des attaches, des compromis, des ?-peu-prËs. Elles ne jouent pas ? faire comme-si. Leurs rÍves, leur imaginaire ne sont pas des simulations du monde réel : ils prolongent le corps en essayant de déjouer les piËges díune modernité formelle. Ce film de 12í est réalisé entiËrement en 3D. Le mouvement des corps des danseuses a été enregistré en motion capture et appliqué ? leur clone. La chorégraphie síinscrit dans une scénographie divisée en mondes imaginaires et parcourue par les mouvements virtuels de caméras.

  • Production : Danse 34, Productions
  • Coproduction : CICV Pierre Schaeffer, Canal +, Société Animaré, CNC
  • distribution commerciale : Danse 34, Productions
  • distribution non commerciale : Danse 34, Productions & CICV Pierre Schaeffer
  • InterprËtes : Ana Teixido, Carme Vidal, Norbert Corsino
  • Chorégraphie : Nicole Corsino, Norbert Corsino
  • Musique : Jacques Diennet
  • Scénographie 3D, Animation& Effets spéciaux : Patrick Zanoli
  • Ingénieur Animation : Claire Pégorier

 

 

‹‹ Circumnavigation (Líintégrale) ››

RÉALISATION : Nicole et Norbert Corsino, 1995. Fiction chorégraphique, France, sans parole, 60' 18''

SYNOPSIS : Circumnavigation ñ Marseille, Trieste, Rotterdam, Riga, Lisbonne, Vigo, Vancouver, lecture poétique de lieux maritimes, donne ? voir les parcours imaginaires díhistoires hypothétiques. Líespace maritime est suggéré et entríaperÁu pour donner plus de matiËre et moins de forme, plus de couleurs que de contours. Plus de mouvements que de lignes reconnaissables. Trouver le mouvement de la ville, síil existe, ou la vitesse de sa lumiËre, ou la couleur : son irradiation. Donner quelques pistes de son actualité et donc de sa mémoire. Les personnages narrateurs de leur propre geste continuent leur périple de port en port ? la recherche des passages de la danse.

  • Production : Danse 34 production
  • Coproduction : CICV Pierre Schaeffer/Arcanal
  • Distribution non commercial : Heure Exquise Distribution
  • Distribution commerciale : Arcanal
  • InterprËtes : Ana Teixido, Nicole Corsino, Jacques Boyer, Norbert Corsino
  • Musique : Jacques Diennet
  • Directeur Photo : Massimo Gardone
  • Images : Michel Manoian, Bruno Beltramini, Paul Hosek, Uldis Veiss, Ricardo Rezendo, Mario Manfredi
  • Montage : Patrick Zanoli, Michel De Lataulade, Jean-Claude Moncey, Nicole Corsino, Norbert Corsino
  • Mixage : Gilles Marchési, Jacques Diennet, Bruno Bravo

‹‹ de la vie des enfants au XXIËme siËcle ››

RÉALISATION : Papisthione. 2000. 57 min 02. Documentaire, Sénégal, N&B, version originale franÁaise-wolof sous titrée en anglais.

SYNOPSIS :  La vie des enfants des rues de Dakar. Deux bandes errantes sont suivies jour et nuit dans la ville par une caméra qui enregistre calmement les réactions, les regards et les pensées silencieuses díenfants drogués, violés, détruits, dont le destin síest arrÍté le jour mÍme o il a commencé et que líon voit réduits et perdus aux pires conditions de líexistence.
Par sa forme (images en noir et blanc ? la vitesse souvent contrariée, tantÙt muettes, tantÙt sonore), le film entretient et affirme sa distance avec le style documentaire, tout en restant pourtant fondé sur des moments de vie réelle, jamais mis en scËne.

  • Production : La Fabriks
  • Coproduction : CICV Pierre Schaeffer
  • Distribution non commerciale : Heure Exquise ! Distribution
  • Image : Papishione
  • Assisté de : Mamadou Lamine Sakho
  • Montage : Marie-Laure Florin
  • Musiques : Thierry Arredondo
  • Son : Gilles Marchési

‹‹ j'etais hamlet  ››


RÉALISATION :
 Dominik BARBIER

SYNOPSIS  Un portrait fragmenté d'Heiner MULLER dans sa ville, Berlin. Une réflexion sur le thé?tre et son rÙle, soutenue par ses plus beaux textes. A travers une vision dont le "pessimisme historique" lui co?ta trËs cher, sont évoqués les trois Berlin d'Heiner M¸ller: celui de Bertold Brecht, celui du Berliner Ensemble, celui du passé nazi, du mur, de la censure, de l'enfermement... Celui d'une Allemagne unifiée en une mise ? mort inavouée de sa moitié Est, en un effacement programmé de sa propre histoire.

Prod : ACADEMIE EXPERIMENTALE DE THEATRE, ARCANAL, CICV PIERRE SCHAEFFER, FEARLESS, SARTELET Alain
Type : Monobande
1993  -  FRANCE  -  1 h 12 min

Version originale allemande sous titrée en franÁais. Version allemande.
Genre : Documentaire, Documentaire culturel
Mots-clés :
Portrait, Thé?tre

co-production: ARCANAL / ACADEMIE EXPERIMENTALE DES THEATRES A PARIS

‹‹ un passeport hongrois ››

RÉALISATION :  Sandra Kogut. Documentaire, France, 2001, 72'

SYNOPSIS :  Je suis au téléphone, un peu hésitante :

— Allo ? C’est le Consulat de Hongrie ? J’appelle pour un renseignement… Une personne dont le grand-père est Hongrois, peut obtenir un passeport hongrois ?
La personne à l’autre bout du fil a un très fort accent hongrois et n’est pas sûre de comprendre ma question, qui apparemment lui semble bizarre :
— Un passeport hongrois ?
— Oui… C’est possible ?
— Oui…
— Et… quels sont les papiers nécessaires ?
— C’est très compliqué.
— Il faut beaucoup de temps ?
— Oui, c’est très long. Si vous avez les papiers nécessaires… Prenez un rendez-vous et nous en reparlerons.

Cette scène s’est passée il y a quelques mois. Je ne dis rien à personne, mais voilà que maintenant l’idée ne me quittera plus. Je vais demander à devenir hongroise.

Cette démarche administrative —

la demande de passeport —

sera pas à pas le fil conducteur du film. Je me retrouve confrontée à des questions pour moi essentielles : qu’est ce que c’est une nationalité, à quoi sert un passeport, de quoi
héritons-nous ?

  • production
    Michel David
  • Zeugma Films
  • coproduction :
    CICV Pierre Schaeffer
  • Arte France
  • Hunniafilm Studio
  • Cobra Films
  • RTBF
  •  Image
  • Florent JULLIEN
  • Florian BOUCHET
  • Sandra KOGUT
  • Son
  • Yolande de CARSIN
  • Florent JULLIEN
  • Pré-production  
  • Florent JULLIEN
  • Julia DO PRADO VALLADARES
  • Sandra HEGED
  • Montage
  • Monica ALMEIDA
  • Sandra KOGUT
  • Conformation
  • Marie-Laure FLORIN
  • Montage son et mixage
  • Gilles MARCHESI
  • Stagiaires
  • Ana Carolina DIAS
  • Alice MICELI
  • Administration de production
  • David BERDAH
  • Direction de production
  • Réjane MICHEL
  • Musiques
  • PAPIR IZ DOKH VAIS
  • YAH RIBON
  • interprétées par
  • KARDOS Dániel
  • Guitare
  • BORBÉLY Mihály
  • Instruments ? vent

‹‹ longue distance : budapest ñ saint-petersbourg ñ vienne ñ venise - hambourg ››

RÉALISATION :  Philippe PADDEU
 

SYNOPSIS :  LONGUE DISTANCE est une collection de carnets de voyage présentés sous forme de fictions concernant ? terme 10 villes européennes (Budapest, Venise, Vienne, Hambourg, St Petersbourg pour la premiËre tranche). Ces courts métrages sont réalisés en image composite (Rotoscopie, vues réelles et animation traditionnelle). Les villes sont abordées sous leurs aspects symboliques, culturels et historiques dans un style onirique propre ? l'auteur.

Prod : ANIMA Productions, LA SEPT-ARTE , CICV Pierre Schaeffer
Type : Monobande
1993  -  FRANCE  -  35 min 09 sec
Genre : Animation, Infographie
Mots-clés :
Tourisme, Urbanisme, Voyage

FIPA d'or ? Cannes. Prix du documentaire Estavar Livia 94. Mention spéciale LiËge 94.

‹‹ la place ››

RÉALISATION : Valérie Male. Documentaire, Pal, Couleur, France, 2002, 12'

SYNOPSIS : Le film explore une place publique, o les générations se cÙtoient et se croisent. Dans le mÍme temps, la place est le lieu de la manifestation politique, un carrefour des solidarités. Redonner sens ? une agora d'aujourd'hui. Opposer au temps accéléré du monde un temps de décélération et aux solitudes une proximité du regard. Faire de l'espace urbain un espace poétique avec les rythmes propres aux Ítres et aux choses, les textures et les couleurs du monde.
ìLa placeî, vidéo. DeuxiËme volet díun projet poursuivi ? Madrid depuis 2001. / The film explores a public square where the generations mingle and meet. At the same time, the public square is the locus of the political demonstration, a crossroads of solidarities. The idea is to endow this present-day agora with a new meaning, to oppose a time for deceleration to the accelerated time of the world, and a closeness of observation to solitudes, to turn the urban space into a poetic space, filled with the rhythms proper to the beings, things, textures and colors of the world.

  • Image
  • Valérie MALEK
  • Montage
  • Emmanuel ROY
  • Ingénieur du son
  • Gilles MARCHESI
  • Son
  • Guillaume PETITMENGIN
  • Chargée de production
  • Yasmina DEMOLY
  • Production
  • Valérie MALEK
     
  • coproduction
  • CICV Pierre Schaeffer
  • Montbéliard Belfort

‹‹ Nizao Beijing ››

RÉALISATION : Zhao Liang.  Vidéo Art, France/Chine, 1999 ñ Pal ñ 11í

SYNOPSIS :  ìNizao Beijingî parle des exercices de gymnastique matinale effectués dans les parcs publics de Pékins. Les gens viennent síy ´ relaxer ª de différentes maniËres : massages, étirements, chants, sauts, marche ? reculonsÖ

Cette activité est assez troublante et nous fait penser ? une sorte díhÙpital psychiatrique.

Zhao Liang analyse cette population en établissant un parallËle avec des animaux en cage, et nous fait passer de líhÙpital ? la prison.

Se pose alors la question de savoir ce qui pousse ces gens de plus de 50 ans, ? faire ces gestes. (Zhao Liang apporte un début de réponse en montrant des images du montage mÍme du film, accelérés, ralentis, K7). Il démontre comment les iamges, comme les gens, peuvent Ítre manipulées.

  • Production
  • Fan Lian Hua
  • Coproduction
  • CICV Pierre Schaeffer
  • Musique
  • Naji Mjaess
  • Montage
  • FranÁois Clévy

‹‹ Poems to filth ››

RÉALISATION : Jean Michel BruyËre. Documentary theater, Sénégal/France, 1997-PAL-45í

SYNOPSIS : Real world and imaginary worlds of homeless children.
Played by a band of 11 street kids, ìPoems to Filthî puts their words into images through 20 poems written by two of these kids, Ibrahima Konaté (aged 11) and Amadou B? (aged 14).
îSometimes, I invent very ancient songs in a language that doesnít exist.
And I walk in the streets with my song. And then I look at everything as if it were a very old elsewhere where Iíd have my place, where I would be known by all.î - Ibrahima Konaté.

  • co-production
  • CICV Pierre Schaeffer
  • La Fabriks
  • Epidemic Production
  • Poems
  • Ibrahima Konaté,
  • Amadou B?
  • Transcribed by
  • Jean Michel BruyËre
  • With the voice of
  • Laurie Anderson
  • Music
  • Thierry Arredondo
  • Setting
  • Doris Haron Kasko
  • Lighting
  • Arona Camara
  • General Coordination
  • Madine Lebvre
  • Editing
  • Marie Laure Florin
  • Sound Post production
  • Gilles Marchési
  • Infographics
  • FranÁois Clévy

‹‹ Times_of_the_signS ››

RÉALISATION : Eric Sadin.  Installation 2 écrans et mono bande. France/Japon, 2002-PAL-17í

SYNOPSIS : Ce projet développé au Japon s'attache ? analyser la production de signes et d'écritures au travers du développement du numérique mais aussi de la persistance de l'imprimé. L'univers urbain de Kyoto offre  de multiples imbrications des différents niveaux de lecture.  Times_of_the_signS/ est le nom d'une enquÍte explorant la nature et la portée de la brusque transformation de nos rapports au texte et aux signes, notamment induite par l'extension conjointe du numérique et des réseaux de communication.  /  The purpose of this project, which was developed in Japan, is to analyze the production of signs and writings through the development of digital technologies, but also the persistence of the printed word. Kyotoís urban world offers manifold interweavings of the various levels of meaning. Times_of_the_signs is the name of an investigation that explores the nature and range of the sudden transformation of our relationship to texts and signs, which was notably induced by the join extension of digital techniques and communication networks.

  • production
  • Eric Sadin avec le soutien de
  • CICV Pierre Schaeffer
  • Villa Kujoyama
  • Inst itut FranÁais du Kansai
  • Ambassade de France ? Kyoto
  • AFAA

‹‹ the synchronizer ››

RÉALISATION  :
Cathy VOGAN

SYNOPSIS :
Dans l'art comme dans la vie, nous rÍvons et travaillons notre propre corps comme un instrument parfaitement régulé. Nous inventons des machines qui nous font faire les choses en parfaite synchronisation avec une horloge conceptuelle. Elles peuvent Ítre aussi littérales qu'un réveille-matin pour nous réveiller, ou un somnifËre pour nous assommer. Ou peut-Ítre une pilule contraceptive pour faire du sexe un simple divertissement, ou une pompe ? lait pour synchroniser la soif des hommes aux exigences de sa journée de travail ; toutes sortes de médecines, traditionnelles ou homéopathiques, tout ce qui est essentiellement "contre nature", dans sa fonction de retarder la mort... (Extrait du catalogue des 10Ëmes Rencontres Vidéo Art Plastique d'Hérouville Saint-Clair 1996).

Prod : CICV PIERRE SCHAEFFER, FEARLESS
Type : Monobande
1996  -  FRANCE  -  19 min 5 sec
Genre : Art Vidéo
Mots-clés :  Amour, Animaux, Assemblage, Humour, Sexe

‹‹ trionfo della morte et mort sans triomphe avec danses macabres ››

RÉALISATION : Gianni Toti. VideoPoËmOpéra, France, 2002-PAL-23' 07"

SYNOPSIS : "Trionfo della morte et mort sans triomphe avec danses macabres" est l'ex-troisiËme chant ou, mieux pire, troisiËme cri de Gianni Toti. "Le triomphe de la mort" selon le titre donné aux fresques du campanien de Pisa (1300-1340 plus ou moins) par le grand peintre toscan Buomanico Buffalmacco, ami de Giovanni BOCCACCIO (Rappelez vous des contes du DECAMERON et des nombreuses histoires dont il a été l'un des plus "sollazzevoli" protagonistes) a été terminé dans une synthËse qui en reporte le sens !  Et surtout le sens du "penseur macabre" dans lequel on retrouve une étrange image du penseur rodinien (oui ! le sculpteur de la pensée Auguste Rodin) dans l'au deÁ?, pas dans l'au-del? de sa vie ...  Dans une singuliËre "caverne platonique", "le penseur macabre" re-vit les fresques du TRIOMPHE DE LA MORT, de l'ENFER (et du DIABLE) et du JUGEMENT UNIVERSEL.  Fresques auxquelles s'ajoutent les images grotesques (burlesconiennes aussi ?) des danses macabres qui dans le millénaire passé ont été l'illustration privilégiée du conflit entre les " chevaliers courtois" du " jardin raisonné" (pas seulement du temps et des espaces decameroniennes) et de l'idéologie irraisonnable de l'Eglise catholique (et des autres " religiolutions" !).  Entre les images "parodiques", des diableries cruelles des fresques montrent les musiques, les chansons et " les danses macabres", des défilés burlesques qui portent ? la mise ? feu du DIABLE !   Les cosmotéistes accompagnent la naissance dans le chaosmos, en 3 D, de la constellation macabre du penseur, qui est notre métaphore et métonymie du TroisiËme Chant-Cri et en réalité, la MORT DU TRIOMPHE. Il n'y a plus LE TRIOMPHE DE LA MORT, et malheureusement, pas mÍme le TRIOMPHE DE LA VIE.

  • production
  • CICV Pierre Schaeffer
  • avec la collaboration de
  • Elisa Zurlo
  • Sandra Lischi
  • José Carlos Mariategui III
  • Montage et effets spéciaux
  • Patrick Zanoli
  • Ingénieur du son
  • Gilles Marchési
  • Composition musical
  • Luigi Cecarrelli

‹‹ trionfo della morte ››

RÉALISATION : TOTI Gianni

SYNOPSIS : "Trionfo della morte et mort sans triomphe avec danses macabres" est l'ex-troisiËme chant ou, mieux pire, troisiËme cri de Gianni Toti. "Le triomphe de la mort" selon le titre donné aux fresques du campanien de Pisa (1300-1340) par le grand peintre toscan Buomanico Buffalmacco, ami de Giovanni Boccaccio a été terminé dans une synthËse qui en reporte le sens. Et surtout le sens du "penseur macabre" dans lequel on retrouve une étrange image du penseur rodinien dans l'au deÁ?, pas dans l'au-del? de sa vie. Dans une singuliËre "caverne platonique" "le penseur macabre" re-vit les fresques du Triomphe de la mort, de l'enfer (et du diable) et du jugement universel. Fresques auxquelles s'ajoutent les images grotesques (burlesconiennes aussi) des danses macabres qui dans le millénaire passé ont été l'illustration privilégiée du conflit entre les "chevaliers courtois" du "jardin raisonné" et de l'idéologie irraisonable de l'Eglise catholique (et des autres religiolutions"!). Entre les images "parodiques", des diableries cruelles des fresques montrent les musiques, les chansons et les "danses macabres", des défilés burlesques qui portent ? la mise ? feu du DIABLE! Les cosmotéistes accompagnent la naissance dans le chaosmos, en 3 D, de la constellation macabre du penseur, qui est notre métaphore et métonymie du TroisiËme Chant-Cri et en réalité, la Mort DU TRIOMPHE. Il n'y a plus LE TRIOMPHE DE LA MORT, et malheureusement, pas mÍme le TRIOMPHE DE LA VIE. "Trionfo della morte et mort sans triomphe avec danses macabres" est le troisiËme chant de la trilogie.

Prod : CICV PIERRE SCHAEFFER
Type : Monobande, 2002  -  FRANCE  -  23 min 7 sec
Genre : Art Vidéo, Vidéo PoËme
Mots-clés :  Allégorie, Effets spéciaux, Mouvement, Poésie

‹‹ tupac amauta (premier chant) ››

RÉALISATION : Gianni Toti. 1997.  53 min 17.  Vidéo poËme opéra, France/Italie/Pérou, version originale en Italien et en franÁais.

SYNOPSIS : ´ Tupac Amauta  ª était le descendant du dernier prince Inca. Neuf ans aprËs la révolution franÁaise il déclenche la grande insurrection de ´ Los Indios ª non seulement du Pérou contre la domination espagnole mais aussi la guerre pour líindépendance du continent Latino AmérIndien. ´ Amauta ª - mot qui dans la langue quech ua signifie ´ le sage ª ou líintellectuel ñ Inca était le nom de plume et de bataille idéale avec lequel los indios appelaient José-Carlos Mariategui, le plus génial penseur politique de líAmérique Latine.  Tupac Amauta qui est le premier chant de la VidéoPoËmeOpéra Totienne (suivront ´ Gramsciategui ª et ´ Pachacuti ª) síoffre comme le dernier poËme électronique díune trilogie sur les rÍves-évolutions de notre époque, sur les terribles holocaustes de la conquÍte, sur cinq cent années de domination sur de merveilleuses civilisations. La musique expérimentale est des compositeurs et musicologue chiliens ´ Les Chimuchines ª.

  • Réalisation : Gianni Toti
  • Production : CICV Pierre Schaeffer
  • Avec la collaboration de : José-Carlos Mariatégui III
  • Et la Concréaction de : Patick Zanoli & Gilles Marchési,
  • Assistantes : Elisa Zurlo & Sandra Lischi
  • Distribution non commercial : Heure Exquise Distribution
  • Distribution commerciale : 10 francs production
  • Musique pré-colombienne : Les Chimuchines, Claudio Mercado, José Perez Arcem, Guillermo Aste Von Bennewitz, Victor Rondon, Norman Vilches
  • Montage et effets spéciaux : Patrick Zanoli
  • Mixage : Gilles Marchési

‹‹ videovoid text ››

RÉALISATION : David Larcher. 1993.  30 min 34.  Vidéo expérimentale, France, Version originale anglaise.

SINOPSIS: ´ Quíune vidéo commence par une bande annonce est unique en soi (cf. videovoÔd the trailer). Dans le cas de David Larcher cela nía rien díétonnant, car son úuvre est entiËrement faite de démarrages, de projets inachevés, de lancementsÖ Comme líúuvre de David larcher fait partie de líhypertexte quíest le monde, VideovoÔd doit ? son tour devenir un hypertexte : un texte hyper-idiosynchratique o les différents textes interfËrent entre eux. Si tout se passe comme prévu, on aura díabord 4 bandes de base : le pre-texte, le context, le text et le subtext ; les 2 premiËres mËneront au cortex, les deux derniËres au sextext qui aboutira ? son tour au text. ª Pieter Van Bogaert ñ 1995

  • Production : The Bla Bla, Londres
  • Coproduction : CICV Pierre Schaeffer
  • Distribution non commercial et commerciale : Heure Exquise Distribution
  • Auteur : David Larcher
  • Montage & Effets Spéciaux : David Larcher & Patrick Zanoli
  • Animation graphique : Lionel Bole, Eric Rébert, Cyrille Cramesnil De Laleu
  • Bande annonce (A more on fender) : B. Les Less, O. Gosho
  • Son díarchives : Nigel Pulsfort et Shostakovitch
  • Montage son : Gilles Marchési, Paul Lamb, O. Gosho, B-Y & R-Y
  • Texte : David Larcher, Manuel de maintenance SonW 75, Gide
  • Avec : Jardinage spirituel díEliphas Lévi pour la visite du Ministre

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